« Rien de moins qu’un miracle » : une première impression forte de ce qui nous attend

Cette semaine, les émotions sont vives au sein de l’équipe de recherche. Après avoir passé plus de 60 heures à rencontrer les 41 équipes scolaires participant au réseau et à apprendre d’elles, il n’est pas exagéré de dire que le processus d’intégration a laissé l’équipe étonnamment inspirée et pleine d’espoir pour la suite.


Aujourd’hui, nous avons rencontré Gladys, l’une de nos assistantes de recherche, pour discuter de ses premières impressions sur les équipes qu’elle a eu le plaisir de rencontrer au cours du processus d’intégration. S’il y a une chose qui l’a marquée, c’est bien la passion qui anime ces enseignants et éducateurs et leur volonté de se surpasser pour offrir une éducation de qualité à leurs élèves. Selon elle, il est « évident que ces éducateurs ne reculeront devant rien pour faire la différence dans leurs propres écoles et dans le programme scolaire en général ».

Gladys a également parlé de la façon dont ces réunions l’ont affectée d’une manière qu’elle n’avait pas anticipée. Elle a déclaré que « les rencontrer a été une expérience émotionnelle […] Je suis sortie de ces réunions les larmes aux yeux et pleine d’espoir ». En tant que doctorante en psychologie spécialisée dans le développement cognitif des enfants, elle s’est sentie profondément reconnaissante d’avoir eu l’occasion de partager un moment avec ces équipes : « Ce n’est pas tous les jours que l’on peut s’asseoir avec un groupe d’éducateurs aussi passionnés que soi par l’apprentissage et le bien-être des enfants […] réunir plus de 150 éducateurs animés par la même passion tient du miracle. »

Enfin, en réfléchissant aux deux derniers mois, Gladys a déclaré que l’expérience qu’elle avait vécue jusqu’à présent avait été tout à fait impressionnante et qu’elle se sentait « tellement humble de faire partie de cette équipe et de ce réseau ». Bien qu’il y ait eu des soupçons d’incertitude quant à ce que ce projet impliquait lorsqu’elle a rejoint l’équipe pour la première fois, le processus d’intégration l’a laissée pleine d’espoir pour l’avenir : « Lorsque j’ai rejoint l’équipe du CPSN, je n’avais pas conscience de l’impact considérable que ce réseau allait avoir sur le système éducatif des enfants canadiens. Aujourd’hui, il m’apparaît clairement que ce réseau est une puissance qui aura un effet important et durable sur l’éducation de nos enfants. »

Aujourd’hui, il est clair pour moi que ce réseau est un moteur qui aura un effet important et durable sur l’éducation de nos enfants.

Gladys Ayson

Gladys Ayson est candidate au doctorat dans le programme de psychologie expérimentale de l’Université d’Ottawa. Ses recherches portent sur le développement cognitif des enfants, et plus particulièrement sur leur compréhension de l’avenir. Elle travaille également pour une organisation à but non lucratif qui donne des cours d’anglais et d’éducation financière aux nouveaux enfants canadiens. Elle se passionne pour le soutien aux nouvelles familles canadiennes, la traduction de la recherche sur l’enfance en connaissances accessibles aux familles et l’accompagnement du changement dans le système éducatif canadien.